Examen de la gestion des impacts du changement climatique en Tunisie

Un séminaire sur le thème « Changement climatique en Tunisie: Gestion des impacts  » se tiendra du 27 au 28 février 2018, à l’initiative du ministère des Affaires locales et de l’environnement, en collaboration avec la Fondation Friedrich Ebert, ont indiqué les organisateurs dans un communiqué publié, lundi, à Tunis.
« Ce séminaire s’inscrit dans le cadre des efforts déployés pour combattre les impacts du changement climatique, particulièrement sur la vie humaine, et ce conformément aux engagements pris par la Tunisie notamment de par son adhésion à la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques adoptée à Rio en 1992 et l’accord de Paris sur le c limat adopté en 2015 et ratifié par la Tunisie en 2016″.
Durant ces deux journées, l’impact du changement climatique sera abordé à travers des axes choisis conformément aux stratégies fixées pour permettre à la Tunisie d’honorer ses engagements relatifs à la gestion des déchets, la mobilité urbaine et la santé. Ces thématiques seront abordées et discutées dans le cadre de quatre panels et quatre ateliers.
Les panels auront respectivement pour thèmes: »quelle politioque pour la gestion des impacts des changements climatiques? », « collecte des déchets, quelle solution?, « Mobilité urbaine, état actuel de la Tunisie et perspectives » et « Santé-environnement, impact sur la santé ».
Les ateliers porteront, notamment, sur les recommandations relatives à la collecte des déchets, la mobilité urbaine et la santé environnement.
Le but est de dégager des recommandations d’actions pratiques visant à atténuer les changements climatiques et à réduire leurs impacts sur la qualité de vie du citoyen. En effet, il est devenu impératif de limiter certains impacts du changement climatique, tel que le souligne les rapports accablants des instances internationales à ce sujet, en menant des politiques d’atténuation et ou d’adaptation en faveur d’un transport et des constructions plus écologiques, d’une production d’électricité à haut rendement énergétique, d’une industrie plus propre et d’une gestion des déchets plus opportune, lit-on dans le communiqué.