jeudi, 18 avril 2024

L’économie dans le monde

La croissance mondiale devrait dépasser 3% en 2018 et 2019, selon un rapport de l’ONU
La croissance mondiale devrait dépasser 3 % en 2018 et en 2019, selon un nouveau rapport sur la situation et les perspectives de l’économie mondiale, publié jeudi, à New York, par l’ONU.
Les raisons principales étant une croissance accrue dans les pays développés et des conditions favorables pour l’investissement. Mais, la multiplication des tensions commerciales, l’incertitude quant à la politique monétaire, les niveaux de dette plus élevés et la hausse des tensions géopolitiques sont susceptibles d’entraver le progrès anticipé, note le rapport.
La production d’électricité en Algérie atteindra un volume de 25 000 mégawatts à l’horizon 2025
L’Algérie ambitionne d’atteindre un volume de production d’électricité de 25 000 mégawatts d’ici 2025, d’après le ministre algérien de l’Energie, Mustapha Guitouni.
Pour réussir ce nouveau challenge, le gouvernement algérien a déjà misé sur les capacités des centrales électriques classiques, en y ajoutant les 2 000 mégawatts qui seront produits à partir des centrales solaires.
L’Algérie pourrait envisager l’exportation de l’énergie électrique qui sera produite dès que la demande locale sera satisfaite. La Tunisie et la Libye seraient alors les premiers clients de l’Algérie, selon Afrique la tribune.
Le gouvernement égyptien cible un milliard de dollars de revenus avec l’introduction en bourse, en 2018, de 6 entreprises publiques
Le gouvernement égyptien espère tirer 18 milliards de livres égyptiennes (1 milliard de dollars) de revenus, de la première phase de cession de ses parts dans 6 sociétés publiques, en 2018.
Les premières offres publiques initiales sont annoncées pour début juin 2018 et devront se poursuivre jusqu’au début de 2019, selon l’agence Ecofin.
L’économie japonaise en recul, pour la première fois depuis 2015
L’économie japonaise a accusé, au cours du premier trimestre de 2018, un recul de 0,2%, par rapport, au trimestre précédent, pour la première fois depuis 2015, après près de deux ans de hausse continue, selon des données préliminaires publiées mercredi 16 mai par le gouvernement nippon.
Cette baisse est due, notamment, à la faible consommation des ménages, au repli des investissements des entreprises et aux effets éventuels de la politique protectionniste du président américain, Donald Trump, sur les exportations.
Selon le Financial Times, ce ralentissement marque la fin d’une croissance ininterrompue de huit trimestres et témoigne que l’environnement économique mondial devient moins favorable pour le Japon.
L’OCDE appelle le Maroc à engager un programme de réformes ambitieux pour rattraper les pays émergents
L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a appelé, le Maroc, dans son deuxième rapport de l’examen multidimensionnel du Maroc, à adopter un programme de réformes ambitieux pour rattraper les pays émergents et conjuguer la croissance et l’exclusivité.
Selon l’organisation mondiale, le Maroc devrait maintenir une croissance supérieure à 7% par an. Une telle performance nécessite la recherche de nouvelles sources de croissance durable, pour atteindre le PIB par habitant moyen des pays OCDE en 2050.
« Elle estime que l’économie marocaine est dynamique et internationalisée, mais elle est caractérisée par une stagnation de sa structure sur une longue période, soulignant qu’elle devrait repenser son approche industrielle », selon maghrebemergent.info.
Entrée en vigueur, le 25 mai 2018, du Règlement général européen sur la protection des données (RGPD)
Moins de la moitié des entreprises wallonnes sont préparées à l’entrée en vigueur du Règlement général européen sur la protection des données (RGPD) qui entrera en vigueur dans dix jours, selon une étude de l’Agence du numérique (AdN) relayée par la Libre, mercredi. Le RGPD encadre le traitement des données personnelles des clients des entreprises. Il s’applique à tous les pays de l’Union européenne à partir du 25 mai.
Le conseiller exécutif de l’Institut arabe des chefs d’entreprise (IACE), Mejdi Hassen, avait attiré l’attention, depuis février 2018, sur les conséquences « catastrophiques » que pourrait avoir l’entrée en vigueur de ce nouveau règlement européen sur l’économie de la Tunisie, dont l’UE est un partenaire stratégique.
La Tunisie a adopté, en novembre 2017, la Convention 108 du Conseil de l’Europe sur la protection des données personnelles. Mais, le parlement n’a pas encore adopté le projet de loi sur la protection des données personnelles, déjà adopté en conseil des ministres.