Maroc : La part des énergies renouvelables dans le mix électrique national est passée à 19,5 %, l’éolien étant le principal contributeur

La contribution des énergies renouvelables à la production nationale d’électricité connaît une évolution importante, atteignant 19,5 % à fin 2021, tirée notamment par le développement de projets éoliens et solaires. La capacité installée d’énergies renouvelables dans le pays était de 1221 MW en 2001 et est passé à 4 067 MW en 2021, a indiqué l’Autorité nationale de régulation de l’électricité (ANRE) dans son premier rapport annuel.

S’agissant de la production, les centrales électriques à base d’énergies renouvelables ont injecté 7 972,8 GWh dans le réseau de transport en 2021, contre 7 278,7 GWh en 2020, soit une variation annuelle de +9,5 %.
La même année, la puissance installée à partir de sources renouvelables était répartie entre l’éolien (36 %), l’hydraulique (32 %), le solaire (21 %) et les stations d’épuration (stations de pompage-turbinage) 11 %. D’ici 2021, l’énergie éolienne produira 5 024,3 GWh, soit 11,9 % de l’énergie injectée dans le réseau. Au cours de cette période, la production d’électricité solaire a atteint 1 802,27 GWh, représentant 4,4 % de l’énergie injectée dans le réseau de transport. La production hydraulique (y compris les turbines STEP) était de 1 212,65 GWh en 2021, contre 1 290,08 GWh en 2020, représentant 2,9 % de l’énergie totale injectée dans le réseau de transport.

La même année, la puissance installée à partir de sources renouvelables était répartie entre l’éolien (36 %), l’hydraulique (32 %), le solaire (21 %) et les stations d’épuration (stations de pompage-turbinage) 11 %. D’ici 2021, l’énergie éolienne produira 5 024,3 GWh, soit 11,9 % de l’énergie injectée dans le réseau. Au cours de cette période, la production d’électricité solaire a atteint 1 802,27 GWh, représentant 4,4 % de l’énergie injectée dans le réseau de transport. La production hydraulique (y compris les turbines STEP) était de 1 212,65 GWh en 2021, contre 1 290,08 GWh en 2020, représentant 2,9 % de l’énergie totale injectée dans le réseau de transport.