Ce prêt a été accordé par l’Emerging Africa Infrastructure Fund (EAIF) qui est un mécanisme de financement du Groupe de développement d’infrastructures privées (PIDG) pour la construction par Serengeti Energy d’une centrale hydroélectrique de Nyamwamba II (7,8 MW), dans l’ouest du pays.
Ce financement réjouit Mr Wilfred van den Bos, directeur du développement chez Serengeti Energy qui a déclaré que « le prêt de l’EAIF nous permettra de débloquer et de redéployer nos fonds propres dans le financement d’autres centrales d’énergie renouvelable en Afrique subsaharienne ».
Vital pour la population et l’économie, les respects du projet promettent de respecter les engagements sur l’écosystème en « minimisant les émissions ».