Coup d’envoir des activités de la chambre de commerce et d’industrie tuniso-portugaise et de l’association d’amitié Tunisie-Portugal
Le coup d’envoir des activités de la Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-portugaise et l’association d’Amitié Tunisie-Portugal a été donné lundi, à Tunis, en présence de Luis Castro Henriques, chef de l’Agence portugaise pour l’investissement et le commerce extérieur, selon un communiqué de l’UTICA.
Les deux nouvelles structures présidées respectivment par Donia Hedda Ellouze et Zied Tlemçani, serviront à promouvoir la coopération bilatérale entre les deux pays, et à créer des synergies entre elles et une dynamique avec le patronat portugais, a affirmé à cette occasion Samir Majoul, président de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat.
Et d’ajouter que le partenariat tuniso-portugais recèle un potentiel et des opportunités à exploiter et dispose de toutes les conditions de réussite si tous les atouts qui lui sont spécifiques sont mis en avant.
Luis Castro Henriques, a noté les entreprises tunisiennes et portugaises sont appelées à s’appuyer d’avantage sur les structures d’appui des deux pays et recourir aux services des organisations de coopération bilatérales telles la chambre de commerce et d’industrie tuniso-portugaise, l’association d’amitié Tunisie-Portugal, le conseil d’affaires mixte pour développer leur coopération et établir une coopération gagnant-gagnant en allant sur de nouveaux marchés, en particulier le marché africain.
Le Portugal est le cinquième investisseur étranger en Tunisie avec des investissements de l’ordre de 8 millions de dinars et environ 3 000 emplois créés dans les domaines de la mécanique, du textile, de la chimie et de l’agro-alimentaire, a indiqué le ministre de l’investissement et de la coopération internationale Zied Laadhari
Par ailleurs, Laadhari a eu au siège de son département, un entretien avec le chef de l’Agence portugaise pour l’investissement et le commerce extérieur, sur les opportunités de partenariat offertes entre les secteurs privés des deux pays pour créer des projets d’investissements en Tunisie ou pour accéder au marché africain.d’après un communiqué du ministère.